lundi 26 novembre 2012

Comment protéger et faire prosperer vos rêves

Il nous arrive tous un jour ou l’autre d’avoir des idées de génie. Ces idées font leur chemin dans notre esprit et peu à peu elles se transforment en rêves. Vos rêves vous tiennent tellement à cœur que vous brûlez de désir de les partager avec vos proches. Devrait-on les partager ou les garder juste pour nous? La façon la plus rapide de saboter vos rêves est de les partager avec des gens qui n’en ont pas. Vous aimeriez éviter bien des déceptions et de la rancoeur? Ne partagez jamais vos rêves avec des gens qui n’en ont pas eux-mêmes. Pourquoi? Parce que ces individus tenteront de vous décourager dans vos aspirations. Pourquoi cela? Parce que ces personnes ne veulent surtout pas vous voir réussir pour trois raisons. Si jamais vous accomplissiez vos rêves, ils risqueraient : 1. De se sentir inférieurs à vous. Et qui aime se sentir inférieur? 2. De vous perdre comme amis puisque vous n’aurez plus le même style de vie qu’eux. Et qui veut perdre ses amis? 3. De sentir de la pression afin qu’ils sortent eux-mêmes de leur zone de confort. Et qui aime vraiment faire des efforts? En effet, la grande majorité des gens se satisfont de peu. Ils se convainquent qu’ils sont heureux, alors qu’ils ne le sont pas vraiment. Ils se complaisent dans leur vie « confortable », sans risque et surtout sans défi. Ils sont dans leur zone de confort et ils sont bien déterminés à y rester. Après quelques années, j’ai appris à pardonner à ces « voleurs de rêves ». J’ai compris que ces personnes essayaient de me décourager afin de me protéger d’un échec éventuel. Ils m’aimaient et ne voulaient pas me voir souffrir. En fait, ils projetaient sur moi leurs propres peurs et insécurités. Ils ne savaient pas que le plus beau cadeau qu’un parent ou qu’un ami puisse faire à une personne chère est de l’encourager vers la poursuite de ses rêves. En conclusion, comment éviter de saboter vos rêves? En ne les partageant qu’avec des gens qui ont également des rêves à réaliser. Ces individus, comme vous serez en mesure de le constater, sont très généreux de leur temps et de leurs conseils. Ils vous encourageront et ils vous aideront vers l’accomplissement de vos rêves. Ils vous épargneront également un tas d’erreurs que vous auriez commises vous-même. Fuyez les « voleurs de rêves » et ne partagez vos rêves qu’avec des gens qui en ont également.

dimanche 25 novembre 2012

Alerte au seuil critique

Lorsqu'en formation de coaching on m'a demandé ce que je pensais des limites, j'ai expliqué simplement que ce pouvait être un objectif à dépasser. Lorsque dans le sport j'ai étudié les seuils physiologiques mesurés à partir de la combinaison fréquence cardiaque et des minimol d'acide lactique par litre sang (autrement dit la douleur musculaire) et j'ai appris à faire progresser ce seuil. Lorsque dans le travail et la vie au quotidien on ressent un seuil d'oppression, la diminution du plaisir par manque de temps, une absence de recul et que l'on ne prend plus le temps de se réjouir des bonheurs de la vie ensemble, alors on est au-delà des limites et du seuil critique et l'objectif serait plutôt de revenir à un niveau de tolérance. Perdre des être chers parce qu'ils ont perdu goût à la vie, rien n'est plus insupportable surtout si l'on se dit que l'on aurait pu écouter, encourager, accompagner pour éviter... J'ai parfois l'impression de revenir au point de départ lorsque mes réflexions se recoupent autour du même sujet : - Faire des choix, définir des priorités pour se concentrer sur l'essentiel - Gérer son temps qui devient une ressource précieuse pour se consacrer à ceux que l'on aime et qui comptent et ce qui peut permettre d'obtenir les résultats que l'on attend sans gaspiller son énergie. Le rôle du coach, de l'ami, du frère c'est aussi d'aider par une écoute attentive, bienveillante à réfléchir sur ces moments de doutes. Réjouissons nous d'avoir à prendre des décisions quand d'autres les subissent mais soyons vigilants à ne pas nous éparpiller. Ces mots me viennent en écho à la disparition de Patrick Edlinger que je sentais si sûr de lui et bien dans sa peau quand je regardais ses images où que je l'écoutais parler de sa passion.